Droit de réponse

  Un agriculteur répond aux propos d’Hugo Clément  « Sur l’irrigation, nous disons que le maïs utilise 25% de l’eau « consommée » en France, ce qui est bien le cas, contrairement à ce que dit Arnaud Rousseau. À ne pas confondre avec l’eau « prélevée », c’est différent. »Hugo Clément Dixit Vous tronquez aussi la vérité en parlant de consommation d’eau. Pour une petite pluie qui apporte un millimètre d’eau c’est 1l au m² soit 10m3 par hectare qui sont ainsi « consommés »….. C’est vrai pour un champ de maïs mais ça l’est également pour tout ce qui se trouve autour,   sauf que dans des calculs volontairement pessimistes, ça n’est pris en compte que pour le maïs. Ainsi dans une région ou la pluviométrie est de 500mm par an, un champ de maïs, Sans la moindre irrigation, absorbe 5000m3 d’eau par hectare chaque année. Et même la pluviométrie des mois d’hivers lui sera imputée alors que le maïs est récolté depuis longtemps En outre, toute cette eau n’est pas « consomm...

  La chasse aux trophées en Afrique, est une des seules sources financières   pour lutter contre le braconnage dans les pays concernés. En effet, pour s'adonner à un safari-chasse,  les touristes adeptes de cette chasse, doivent s'acquitter d'une taxe "anti braconnage" selon les animaux qu'ils tuent . Celle-ci elle peut coûter plusieurs milliers d'euro . Et il est certain que sans cette manne financière, le financement des brigades anti braconnage serait très limité et que la plupart des espèces africaines auraient disparu depuis longtemps. Vous le savez très bien, mais vous ne le   dévoilerez jamais afin de pouvoir continuer à stigmatiser votre auditoire. Peut-être difficile à admettre pour préserver l’intégrité de votre prêche, mais tuer un lion en sauve beaucoup d’autres….. https://reponsesdebernardloury.blogspot.com/

  Monsieur Rigaux Les connaissances humaines évoluent sans cesse et on découvre constamment de nouvelles facultés chez les organismes vivants. Grâce à des gens comme vous, cette progression du savoir génère chez les humains de plus en plus de culpabilité et par conséquent de plus en plus d’interdits….. Le bon d’aujourd’hui peut facilement devenir l’intolérable de demain. Effectivement, la douleur que peut ressentir un   végétal, n’a probablement rien de comparable avec celle d’un animal. Personne à l’heure actuelle ne peut affirmer qu’elle est pour autant moins intense et à fortiori   négligeable. Et si demain la science met l’intensité de cette souffrance en évidence,   force sera d’admettre, si nous voulons continuer à nous alimenter,   que sur terre, la vie des uns passe obligatoirement par la souffrance et la mort des autres   et que personne n’échappe à cette loi…. C’est là,   l’exemple que nous montre la nature au quotidien…… Que vous ref...